Cultiver un potager biologique en ville, recycler ses déchets, favoriser la biodiversité,
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Une fois que le plant est suffisamment développé et lorsque la température est satisfaisante, on effectuer la plantation en « pleine terre » (c’est-à-dire dans le cas d’un balcon dans le pot, le bac ou la table de culture définitive).
Voici l’exemple d’un plant de stévia (les feuilles de la stévia, peuvent être consommées fraîches ou sèches, une fois séchées et broyées elles peuvent être utilisées à la place du sucre, sans les inconvénients de celui-ci ) :
On fait un trou de la taille de la motte dans le sustrat :
On enlève le plant de son godet (en renversant le godet, en tenant la plante de la main gauche (ou de la main droite si on est gaucher !) et en pressant sur les bords avec la main droite jusqu’à ce que la motte sorte sans difficulté du godet, il faut éviter d’avoir un substrat trop humide sinon la motte peut se décomposer) :
On dispose ensuite le plant dans le trou, on tasse légèrement, on rajoute éventuellement un peu de terreau :
enfin on arrose et on rajoute une étiquette (on oublie très vite quelle plante on a repiqué, surtout si on ne la connaît pas encore bien et qu’on en a beaucoup !) :