Lampes de croissance

Les lampes de croissance sont très pratiques en hiver pour faire des semis à l’intérieur sans se compliquer la vie. Grâce à des minuteurs, elles s’allument automatiquement le matin et s’éteignent le soir. En couplant leur usage avec l’arrosage par capillarité dans des bacs, on peut produire des jeunes plants facilement et sans effort (on peut par exemple partir en vacances sans inquiétude, sans que personne ne s’occupe des plants, au retour ils sont magnifiques !).

Jeunes plants sous une lampe de croissance. De gauche à droite : chou épinard spring, chénopode mélange béta, côtes de blettes à cardes rouges, pimprenelle, agastache rugosa.

Jeunes plants sous des lampes de croissance. De gauche à droite : pimprenelle, agastache rugosa, blettes à cardes multicolores, tétragone cornue, moutarde épinard géante rouge, mâche VIT, laitue langue de cerf, claytone de Cuba, cresson de Belle Isle, mesclun Kokopelli à rissoler, chou pak choï de Shangaï, cresson alénois à feuilles simples

Les lampes consomment assez peu d’énergie et elles créent en outre une lumière blanche assez agréable à l’intérieur de l’appartement, pendant une saison où on manque de luminosité.

Cultures dans la salle de séjour (avant repiquage dehors). De gauche à droite : mâche à grosses graines, moutarde yukina savoy, chou de Chine tah tsaï, moutarde épinard Komatsuma, roquette.

De gauche à droite : moutarde épinard Komatsuma, roquette, moutarde épinard géante rouge du Japon, chou perpétuel Daubenton, claytone de Cuba.

J’ai arrêté de chauffer mon appartement et au même moment, j’ai commencé à utiliser les lampes : ma facture d’électricité à cependant chuté de 30 % (la consommation des lampes est donc négligeable devant la consommation électrique liée au chauffage de l’habitation).

Une certaine automatisation des cultures (phase de semis et de jeunes plants) est donc très pratique lorsqu’on habite en ville et qu’on a de nombreuses activités (professionnelles et personnelles).